Les conditions de financement exceptionnelles constatées ces deux dernières années constituent une belle opportunité pour les ménages français souhaitant recourir à un prêt immobilier.
En 2018 notamment, la baisse des taux au mois de mars renvoie un signal positif chez les investisseurs. Une occasion pour ces derniers de réviser leur crédit et réaliser une économie substantielle tout en alimentant leur désir de devenir propriétaires.
En 2018 notamment, la baisse des taux au mois de mars renvoie un signal positif chez les investisseurs. Une occasion pour ces derniers de réviser leur crédit et réaliser une économie substantielle tout en alimentant leur désir de devenir propriétaires.
Tendance vers les renégociations de prêt avec la baisse des taux
S’il y a une bonne chose qu’on reconnaît au programme d’assouplissement quantitatif initié par la Banque Centrale Européenne, c’est bien les mesures qu’elle déploie pour inciter la consommation des ménages. Pour rappeler les engagements pris, le maintien des taux de court terme à bas niveau par l’injection massive de liquidités a pour effet l’augmentation de l’offre de crédit. Dans le même temps, la simplification des conditions d’accès au crédit stimule le désir des consommateurs à emprunter davantage.
Toutefois, selon le constat, ces derniers ont tendance à renégocier leur prêt plutôt qu’en contracter de nouveaux. Et ce malgré une baisse significative des taux en mars (proche du niveau en 2016). On rapporte que 10% des demandes de prêts déposées auprès d’un organisme de crédit concernent les renégociations, contre 5% en janvier 2018. Mais malgré cette hausse, le niveau reste quand même en-dessous des taux enregistrés sur les deux précédentes années (15% en janvier 2017 et 25% en septembre 2016).
Toutefois, selon le constat, ces derniers ont tendance à renégocier leur prêt plutôt qu’en contracter de nouveaux. Et ce malgré une baisse significative des taux en mars (proche du niveau en 2016). On rapporte que 10% des demandes de prêts déposées auprès d’un organisme de crédit concernent les renégociations, contre 5% en janvier 2018. Mais malgré cette hausse, le niveau reste quand même en-dessous des taux enregistrés sur les deux précédentes années (15% en janvier 2017 et 25% en septembre 2016).
Une opération qui reprend des couleurs
On en conclut néanmoins que la nouvelle baisse récente a bien suscité la motivation des emprunteurs à renégocier. Selon un spécialiste en courtage en crédits immobiliers, l’accroissement des demandes n’est pas l’effet prolongé d’un événement haussier ultérieur comme le prétendent certains, compte tenu d’une phase de stagnation des taux plus ou moins longue au cours du précédent exercice. Il s’agit plutôt d’un regain d’énergie après une période de légère hausse soutenue (jusqu’en octobre 2017).
A rappeler également que le rebondissement des prix immobiliers constaté depuis le début de l’année, et engendrant la contraction des demandes, ainsi que la détente des taux d’emprunt d’État (de 1% à mi-février à 0,72%), ont inévitablement poussé les banques à réviser les taux de crédit immobilier. Grâce à cela, on peut désormais envisager un taux entre 1,30% et 1,60% pour une échéance de 20 ans.
A rappeler également que le rebondissement des prix immobiliers constaté depuis le début de l’année, et engendrant la contraction des demandes, ainsi que la détente des taux d’emprunt d’État (de 1% à mi-février à 0,72%), ont inévitablement poussé les banques à réviser les taux de crédit immobilier. Grâce à cela, on peut désormais envisager un taux entre 1,30% et 1,60% pour une échéance de 20 ans.
Des conditions de financement favorables
En temps de taux bas, il est donc toujours plus intéressant de renégocier un prêt si l’objectif est de revoir son taux d’emprunt à la baisse. Cela reste également convenable dans la mesure où le taux d’intérêt escompté est inférieur à celui de l’opération actuelle. En appui à ce projet, il est tout autant important de préciser que l’écart des taux calculé entre 2015/2016 et l’année en cours varie de 0,70 à 1 point. Le moment est donc opportun pour entamer une demande (si la souscription a eu lieu au cours de ces périodes) d’autant que la durée écoulée pour le remboursement du crédit est suffisante pour amortir les frais.
Par conséquent, il reste encore assez de temps pour relever le gain engendré.
Il convient toutefois de renforcer que malgré l’intérêt de cette renégociation, les frais engagés dans les démarches y afférentes (remboursements anticipés, frais de dossier, assurances, garantie) peuvent s’élever rapidement. En revenant ainsi à ce qui a été dit, il faut considérer au-delà du simple taux, la durée de remboursement la plus appropriée pour les couvrir et générer de la rentabilité.
Par conséquent, il reste encore assez de temps pour relever le gain engendré.
Il convient toutefois de renforcer que malgré l’intérêt de cette renégociation, les frais engagés dans les démarches y afférentes (remboursements anticipés, frais de dossier, assurances, garantie) peuvent s’élever rapidement. En revenant ainsi à ce qui a été dit, il faut considérer au-delà du simple taux, la durée de remboursement la plus appropriée pour les couvrir et générer de la rentabilité.